mardi 2 juillet 2013

Les orphelins Baudelaire n'ont rien à voir dans l'histoire

Y a pas très longtemps, après la sonnerie et le brouhaha qui s'ensuit, j'ai aperçu un manuel oublié sur une chaise. M'approchant pour le ramasser, j'ai entendu des chuchotis. C'était Enid qui bavardait avec le fantôme de sa mère, et il ne s'agissait pas d'un manuel, mais d'un des tomes des Quatre Soeurs.


Rassure-toi, moi non plus je ne connaissais pas les soeurs Verdelaine avant. Il s'agit au départ de cinq romans (elles sont cinq, chacune a donc quatre soeurs) de Malika Ferdjoukh qui furent illustrés par la suite de différentes manières.
Ici, les soeurs prennent vie sous le pinceau de Cati Baur. C'est très doux, très beau et très...
 tuvoistasenviedecaresserlechatdeserrerEniddanstesbrasdepasserlamaindanslescheveuxdeCharliedetirersurlesbandesdeciresdeBettinade...


Ces cinq minettes-là sont orphelines, elles vivent dans une villa digne d'un décor d'Agatha Christie, la plus grande veille sur les plus jeunes, et elles papotent toutes allègrement mais en secret avec les fantômes de papa et maman.
En plus d'être une belle bande dessinée, c'est drôle.

On est bien d'accord, ça s'adresse plutôt aux filles...ou aux garçons perdus dans des familles pleines de filles.

Quatre soeurs, 1.Enid, Malika Ferdjoukh et Cati Baur, éditions Delcourt

1 commentaire:

  1. Lu il n'y a pas très longtemps, comme toi.
    Bien aimé les dessins. J'attends donc le tome 2 en septembre !

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